PLATEFORME CITOYENNE JUSTICE ET VERITE

20 ORGANISATIONS DE LA SOCIETE CIVILE ENGAGEES DANS LE PROCESSUS DE JUSTICE TRANSITIONNELLE AU TOGO

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Photo de famille des Volontaires de la Paix de la PCJV
Opérationnalisation du Mécanisme d'Alerte Précoce avec l'appui de l'Union Europénne, lors de la Présidentielle de 2015 au Togo
Débat public sur le Processus de Réconcilation en lien avec la Décentralisation
Activité organisée par la PCJV en 2016-Vue partielle des participants
Personnes Ressources lors du Forum National sur le Processus de Justice Transitionnelle en 2014
La PCJV est la cheville ouvrière de cette activité

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La justice de transition

Les mécanismes de justice transitionnelle mis en place aux quatre coins du monde affichent pour la plupart un objectif de réconciliation. Il convient pourtant de s’interroger sur la portée et les limites d’un tel concept. En effet, les acteurs politiques et diplomatiques se sont longtemps montrés sceptiques par rapport à cette notion, ne la considérant pas relevant dans leur champ d’action. Pour nombre d’entre eux, la réconciliation renvoyait à un processus spirituel, quasi religieux, limité au domaine interpersonnel. Pourtant, depuis la fin de la guerre froide, de plus en plus de spécialistes en histoire, philosophie, psychologie, sciences politiques, mais aussi de plus en plus de praticiens et de représentants officiels se réfèrent au concept de réconciliation. D’où l’importance de se pencher sur la question.. L’objectif de réconciliation s’apparente-t-il à un slogan dans l’air du temps ? S’avère-t-il crédible au lendemain d’un génocide ou de crimes contre l’humanité ?

Les mécanismes de justice transitionnelle mis en place aux quatre coins du monde affichent pour la plupart un objectif de réconciliation. Il convient pourtant de s’interroger sur la portée et les limites d’un tel concept. En effet, les acteurs politiques et diplomatiques se sont longtemps montrés sceptiques par rapport à cette notion, ne la considérant pas relevant dans leur champ d’action. Pour nombre d’entre eux, la réconciliation renvoyait à un processus spirituel, quasi religieux, limité au domaine interpersonnel. Pourtant, depuis la fin de la guerre froide, de plus en plus de spécialistes en histoire, philosophie, psychologie, sciences politiques, mais aussi de plus en plus de praticiens et de représentants officiels se réfèrent au concept de réconciliation. D’où l’importance de se pencher sur la question.. L’objectif de réconciliation s’apparente-t-il à un slogan dans l’air du temps ? S’avère-t-il crédible au lendemain d’un génocide ou de crimes contre l’humanité ?

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